le chardonneret

le chardonneret Le lion de l’atlas n’existe plus, tout ce qui reste, une sculpture
d’un lion dans la ville d’Ifran, où viens les gents prendre des photos
de souvenir.
Il viendra un jours dont on parlera du chardonneret parva de l’Atlas, on le trouvera sculpter quelque part dans une ville du Maroc, et pourquoi pas la ville de Casablanca à souk Laayoun.






Chaque
jours entre 400 et 600 chardonnerets parvas sont exportés du Maroc, la
chasse de ce magnifique chanteur dure toute l’année, et ne rate rien,
mâle, femelle, jeune et adulte aussi bien en période de reproduction
qu’en période de repos. Dans une région entre Agadir
et Taroudant, un chasseur est venu chasser dans une ferme, le jours
d’après dans les arbres on a trouvé les oisillons des chardonnerets tous
mort dans les nids. Le fait que cette oiseau existe encore au Maroc
reste un miracle.
Les concours de chant sont aussi un facteur
favorisant l’extermination, puisque tous les oiseaux qui passent le
concours sont non baguer, et durant toutes ces années aucune association
n’a imposé les oiseaux avec bagues fermés, ce qui va encourager
l’élevage et éviter les oiseaux indigènes.
Pour les hybrides, seul le
croisement entre chardonneret et canari est autorisé au concours. C’est
une bonne chose pour les autres oiseaux comme le verdier, bouvreuil …. ,
mais malheureusement ça potentialise la capture du chardonneret.
En
Europe la loi interdit la chasse du chardonneret élégant, cette
dernière ne fait pas de migration au Maroc, en effet, pendant l’hiver,
les oiseaux d’Europe font une migration au nord d’Afrique et les filets
de chasse au Maroc les accueils avec un cœur chaleureux.
Les nids du
chardonneret sont aussi les fruits de certain amateur de chant,
puisqu’ils récupèrent les oisillons au septième jours de leur naissance,
les mâles sont isolés pour l’écolage et avoir le meilleur chanteur, les
femelles sont rejetées. Rares ceux qui ont pensé à faire un élevage.

la loi qui interdis la chasse du chardonneret parva au Maroc est sur ce lien :

http://www.frmc.org.ma/arrete_ar.htm